Depuis le début de la pandémie et avec l’annonce du confinement, la société CONNEN, exerçant les métiers de dératisation, désinsectisation et désinfection depuis 1987, a dû s’adapter à un contexte difficile sans stopper son activité et répondre à de nouvelles demandes.
Avec l’annonce du confinement le 16 mars, Louis-Michel CONNEN, dirigeant de la société, a dû prendre, comme de nombreuses entreprises, des décisions organisationnelles pour son équipe de 4 techniciens hygiénistes : arrêt maladie pour garde d’enfants ou raisons de santé, chômage partiel… Pour autant, l’activité ne s’est pas arrêtée et le contexte ne cesse d’évoluer, demandant une grande capacité d’anticipation et d’adaptation.
Une activité réduite selon les entreprises
La société travaille avec de nombreuses industries agro-alimentaires, et doit donc maintenir un suivi régulier, notamment en ce qui concerne la dératisation. La fermeture de certaines entreprises a décalé les plannings d’interventions, qui ont été assurés dans un premier temps uniquement par le dirigeant, soucieux de préserver son équipe et la santé de la population.
« Nous ne voulons pas prendre le risque, et faire prendre le risque à nos clients, de participer à l’expansion de l’épidémie du Coronavirus ». Louis-Michel CONNEN
De nouvelles demandes
Face à la crise sanitaire, de nombreuses interrogations au sujet de la désinfection ont émergé. Comment se prémunir au mieux, avec quoi désinfecter et comment se protéger ? L’entreprise essaye d’informer au mieux sa communauté, notamment en ayant recours aux réseaux sociaux (https://www.facebook.com/deratisationhautdefrance/?ref=bookmarks).
Des demandes de désinfection ont été traitées pour des organismes de santé et des établissements scolaires. Cependant, Louis-Michel CONNEN se veut cohérent et vigilant pour toutes ces demandes, qui ne doivent en aucun cas remplacer les gestes barrière.
« Si les locaux ont été désinfectés, il suffit d’une personne porteuse pour déposer à nouveau le virus sur les surfaces et le risque est toujours présent. » Louis-Michel CONNEN
Une reprise progressive
On assiste néanmoins à une reprise progressive de l’activité pour les entreprises. L’équipe va donc revenir sur le terrain pour faire face aux demandes de ses clients, tout en respectant toutes les consignes de désinfection et de protection imposées tant par la société que par ses clients.
Anticiper pour les équipements et le matériel
Pour cette reprise contrôlée de l’activité, le port du masque sera incontournable. En respectant les consignes et normes de sécurité, il faudra plusieurs masques par personne et par jour (le port étant limité à 4 heures), pour chaque jour de la semaine ! Le dirigeant s’est donc rapproché d’une société locale (Loutte à Saint-Quentin) qui pourra lui fournir 200 masques en tissu certifiés par l’AFNOR et la Direction Générale de l’Armement.
Face aux ruptures de produits désinfectants, la société a également pu fabriquer ses propres solutions désinfectantes pour être en mesure d’assurer ses prestations.